(17/11/2011)
© Stéphanie Lecocq
Grégoire sera à Bruxelles en concert le 2 décembre
BRUXELLES Trois ans après le succès de Toi + Moi , Grégoire réunit toujours les foules sous Le même Soleil , son deuxième opus sorti en début d’année. Le chanteur de 32 ans sera en concert le 2 décembre prochain à Forest National. Sympa, accessible, Grégoire est à l’image de ses chansons, direct et plutôt calme.
Comment s’est passée l’arrivée sur scène de ce deuxième album ?
“Très bien. Il y a beaucoup de vidéos, de références à toutes mes influences comme des auteurs, des écrivains, des hommes qui ont marqué l’Histoire comme Martin Luther King ou Mère Teresa. C’est une balade dans mon univers à travers mes chansons. Je joue l’intégralité de mes deux albums. Il y a une atmosphère très Petit Prince.”
Vous jouez dans de grandes salles, comment gardez-vous la proximité avec le public ?
“J’ai toujours tendance à me mettre à la place du spectateur et c’est vrai que les grandes salles, c’est quelque chose que j’appréhendais. Mais nous avons créé une scène qui va dans le public. Il y a toujours une interaction avec eux. Je partage mes chansons dans l’émotion aussi. Les tableaux qui passent derrière moi sont aussi là pour ça.”
Aviez-vous une appréhension avant la tournée pour ce nouvel album ?
“Non, car les gens ont toujours été très accueillants et plutôt chaleureux avec moi. Je ne me suis pas tellement posé la question. C’est comme lorsque vous organisez une soirée, si la première a bien marché, il n’y a pas de raison que les gens ne reviennent pas ! Je me suis dit que j’allais faire les choses comme je les fais depuis le début et puis si les gens sont là, j’ai de la chance et si ce n’est pas le cas, je me remettrai en question.”
Vous remettez-vous souvent en question ?
“Je me laisse porter mais, en même temps, je me remets en question, je travaille toujours. Dans n’importe quel métier ou même dans un couple, il faut toujours se remettre en question. Mais à côté de ça, il ne faut parfois pas trop réfléchir. Il ne faut pas perdre son objectif de vue et savoir pourquoi on fait ça. J’ai beaucoup de chance aujourd’hui, donc il faut essayer de ne pas la gâcher.”
Vous avez fait une petite pause entre vos concerts, vous en aviez besoin ?
“J’en ai toujours besoin ! La base de mon métier, c’est écrire des chansons. Les tournées, c’est une conséquence de tout cela. C’est un moment où on fait vivre les chansons. C’est comme un marin, quand il part en mer, il est toujours très excité. Mais après quelques semaines, il a envie de rentrer. Sur scène, c’est la même chose.”
Vous dites que votre métier, c’est écrire. Beaucoup d’artistes n’écrivent que pour ensuite aller sur scène…
“Je ne viens pas du tout de la scène. Je n’en avais jamais fait avant mes premiers concerts ! Je n’ai jamais fait de piano-bar ou autre. Ce n’était pas ce qui m’amusait de reprendre les chansons des autres ou d’imposer mes chansons à des gens qui s’en foutaient ! Ce qui m’intéressait, c’était d’exprimer mes chansons. La scène est venue avec le succès d’une certaine manière. Et c’est quelque chose que j’ai dû apprivoiser. Aujourd’hui, j’y ai pris goût et j’ai appris beaucoup de choses. C’est là où j’ai appris le plus de choses.”
Vous pourriez ne plus faire de scène et écrire pour les autres ?
“J’ai eu une mauvaise expérience, donc je reste assez strict là-dessus ! J’ai des conditions très particulières pour que ça se passe, donc ça se passe très rarement ! Mes propres albums, évidemment, se suivent d’une scène. Cela me paraît évident qu’un album doit ensuite vivre en live.”
En concert le 2 décembre à Forest National. Infos et réservations au 0900/00.456 ou sur www.c-live.be
BRUXELLES Trois ans après le succès de Toi + Moi , Grégoire réunit toujours les foules sous Le même Soleil , son deuxième opus sorti en début d’année. Le chanteur de 32 ans sera en concert le 2 décembre prochain à Forest National. Sympa, accessible, Grégoire est à l’image de ses chansons, direct et plutôt calme.
Comment s’est passée l’arrivée sur scène de ce deuxième album ?
“Très bien. Il y a beaucoup de vidéos, de références à toutes mes influences comme des auteurs, des écrivains, des hommes qui ont marqué l’Histoire comme Martin Luther King ou Mère Teresa. C’est une balade dans mon univers à travers mes chansons. Je joue l’intégralité de mes deux albums. Il y a une atmosphère très Petit Prince.”
Vous jouez dans de grandes salles, comment gardez-vous la proximité avec le public ?
“J’ai toujours tendance à me mettre à la place du spectateur et c’est vrai que les grandes salles, c’est quelque chose que j’appréhendais. Mais nous avons créé une scène qui va dans le public. Il y a toujours une interaction avec eux. Je partage mes chansons dans l’émotion aussi. Les tableaux qui passent derrière moi sont aussi là pour ça.”
Aviez-vous une appréhension avant la tournée pour ce nouvel album ?
“Non, car les gens ont toujours été très accueillants et plutôt chaleureux avec moi. Je ne me suis pas tellement posé la question. C’est comme lorsque vous organisez une soirée, si la première a bien marché, il n’y a pas de raison que les gens ne reviennent pas ! Je me suis dit que j’allais faire les choses comme je les fais depuis le début et puis si les gens sont là, j’ai de la chance et si ce n’est pas le cas, je me remettrai en question.”
Vous remettez-vous souvent en question ?
“Je me laisse porter mais, en même temps, je me remets en question, je travaille toujours. Dans n’importe quel métier ou même dans un couple, il faut toujours se remettre en question. Mais à côté de ça, il ne faut parfois pas trop réfléchir. Il ne faut pas perdre son objectif de vue et savoir pourquoi on fait ça. J’ai beaucoup de chance aujourd’hui, donc il faut essayer de ne pas la gâcher.”
Vous avez fait une petite pause entre vos concerts, vous en aviez besoin ?
“J’en ai toujours besoin ! La base de mon métier, c’est écrire des chansons. Les tournées, c’est une conséquence de tout cela. C’est un moment où on fait vivre les chansons. C’est comme un marin, quand il part en mer, il est toujours très excité. Mais après quelques semaines, il a envie de rentrer. Sur scène, c’est la même chose.”
Vous dites que votre métier, c’est écrire. Beaucoup d’artistes n’écrivent que pour ensuite aller sur scène…
“Je ne viens pas du tout de la scène. Je n’en avais jamais fait avant mes premiers concerts ! Je n’ai jamais fait de piano-bar ou autre. Ce n’était pas ce qui m’amusait de reprendre les chansons des autres ou d’imposer mes chansons à des gens qui s’en foutaient ! Ce qui m’intéressait, c’était d’exprimer mes chansons. La scène est venue avec le succès d’une certaine manière. Et c’est quelque chose que j’ai dû apprivoiser. Aujourd’hui, j’y ai pris goût et j’ai appris beaucoup de choses. C’est là où j’ai appris le plus de choses.”
Vous pourriez ne plus faire de scène et écrire pour les autres ?
“J’ai eu une mauvaise expérience, donc je reste assez strict là-dessus ! J’ai des conditions très particulières pour que ça se passe, donc ça se passe très rarement ! Mes propres albums, évidemment, se suivent d’une scène. Cela me paraît évident qu’un album doit ensuite vivre en live.”
En concert le 2 décembre à Forest National. Infos et réservations au 0900/00.456 ou sur www.c-live.be
Interview > Sophie Lagesse
© La Dernière Heure 2011
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