Les Aubois entrent dans la danse avec Grégoire
Publié le vendredi 21 octobre 2011 à 10H02 - Vu 217 fois
Enchaînant les tubes, Grégoire a conquis, hier soir au Cub3, le cœur des spectateurs
photo Jérôme BRULEY
Troyes- En tournée, Grégoire a fait étape au Cub3 à Troyes hier soir. Pour sa première dans la cité tricasse, ils étaient 2 500 à avoir fait le déplacement
Il leur avait donné rendez-vous sous son Soleil. Ils ne se sont pas fait prier pour répondre à son invitation, direction Rue des étoiles. Hier soir, ils étaient 2 500 à graviter dans l'orbite de l'artiste. 20 h pétantes, les lumières s'éteignent, les premières notes de musique retentissent. Le public, les yeux rivés sur le rideau cachant la scène, attend l'entrée du chanteur. En ombres chinoises, les musiciens prennent place, les minutes s'égrènent, puis le rideau tombe.
Droit comme un « i », Grégoire fait face aux spectateurs. Le show peut commencer. Chemise et pantalon noirs, baskets aux pieds, il a tenu à faire honneur à ses invités d'un soir. Et encore, ils n'ont rien vu. Il leur réserve quelques surprises. Loin de son image de chanteur romantique, il se dévoile sous un autre jour, plus punchy, plus rock. Timide, J'adore, Ce qu'il reste de toi, La promesse, Grégoire enchaîne les tubes et assure le show comme un pro. Tout est réglé au millimètre, un peu trop parfois, laissant peu de place à la spontanéité. Qu'importe, les spectateurs prennent plaisir à se balader dans « son univers ».
Remontés à bloc, ils sont prêts à danser « la vie » avec lui. Et quand il invite une fillette sur scène avec lui à partager le morceau, sous le regard envieux de plus de 2 500 personnes, ils sont conquis. Il aura fallu un bon quart d'heure à Grégoire pour chauffer l'assistance. Trois-quatre titres plus tard, la glace est rompue. Et bien décidé à surprendre le public jusqu'au bout, le revoilà, quelques minutes plus tard, en costume et chemise blanche. Tel un crooner, il offre en toute intimité à ces dames un pur moment de douceur et d'émotion. Le temps d'une soirée, Grégoire a « poussé les nuages » du ciel des Troyens, qui auraient bien « voulu tenir sa main un peu plus longtemps. »
Aurore CHABAUDDroit comme un « i », Grégoire fait face aux spectateurs. Le show peut commencer. Chemise et pantalon noirs, baskets aux pieds, il a tenu à faire honneur à ses invités d'un soir. Et encore, ils n'ont rien vu. Il leur réserve quelques surprises. Loin de son image de chanteur romantique, il se dévoile sous un autre jour, plus punchy, plus rock. Timide, J'adore, Ce qu'il reste de toi, La promesse, Grégoire enchaîne les tubes et assure le show comme un pro. Tout est réglé au millimètre, un peu trop parfois, laissant peu de place à la spontanéité. Qu'importe, les spectateurs prennent plaisir à se balader dans « son univers ».
Remontés à bloc, ils sont prêts à danser « la vie » avec lui. Et quand il invite une fillette sur scène avec lui à partager le morceau, sous le regard envieux de plus de 2 500 personnes, ils sont conquis. Il aura fallu un bon quart d'heure à Grégoire pour chauffer l'assistance. Trois-quatre titres plus tard, la glace est rompue. Et bien décidé à surprendre le public jusqu'au bout, le revoilà, quelques minutes plus tard, en costume et chemise blanche. Tel un crooner, il offre en toute intimité à ces dames un pur moment de douceur et d'émotion. Le temps d'une soirée, Grégoire a « poussé les nuages » du ciel des Troyens, qui auraient bien « voulu tenir sa main un peu plus longtemps. »
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