La soirée de clôture de la 24e édition de l’opération Télévie aura lieu le samedi 21 avril prochain.
En attendant ce rendez-vous du cœur et de la solidarité, diverses manifestations sont mises régulièrement sur pied, un peu partout à Bruxelles et en Wallonie. Ceci dans le but de récolter des fonds pour aider la recherche dans la lutte contre le cancer en général et, plus particulièrement, les leucémies qui touchent les enfants. Au nombre des associations qui se mobilisent pour le Télévie, figure « Sol’idarité pour le Télévie ».
Née, il y a quelque deux ans, de la rencontre entre Céline Therasse et Clara Coppola, cette association est à l’origine du concert qui a été donné samedi soir, à la Maison de la Culture de Namur, par Grégoire et Wendy Nazaré.
Bien connus du public belge, ces deux artistes, pour le moins généreux, se sont produits durant deux heures pour le plus grand bonheur des centaines de fans qui avaient fait le déplacement pour les voir.
Pour la deuxième foisà Namur
Parrain de l’association « Sol’idarité pour le Télévie », le chanteur Grégoire était déjà venu à Namur, l’année dernière, pour soutenir celle-ci lors du premier concert qu’elle avait organisé à l’Arsenal. « Pour ce premier concert, explique Clara Coppola,Grégoire avait accepté bien gentiment de chanter trois chansons. Nous lui avons demandé s’il serait d’accord de revenir cette année et de chanter plus longtemps. Il a immédiatement accepté et nous a proposé un concert d’une heure. Dans la foulée, nous avons sollicité la participation de la chanteuse belge Wendy Nazaré qui, elle aussi, a tout de suite marqué son accord. »
Sensibilisé par ce genre d’opération, Grégoire n’a pas hésité à venir de Paris, uniquement pour le concert. « Dès la fin du concert, je repars immédiatement sur Paris. Je suis venu parce que je trouve que c’est une très belle initiative et j’ai eu envie de donner un coup de pouce aux organisateurs. Vous savez, je participe souvent, en France comme dans d’autres pays, à des opérations caritatives qui visent à venir en aide aux gens, à soutenir la recherche, etc. Mais, lorsque ça touche des enfants, je me sens encore plus concerné. Je trouve que les enfants malades font preuve d’un courage exemplaire qui force mon admiration. Je ne sais pas si j’aurais le même courage qu’eux. Pour le reste, je sais que j’ai de la chance de faire le métier que je fais. Alors, pour moi, c’est normal de tendre la main, de partager un peu avec les gens, de faire preuve de solidarité. »
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